La conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider a présenté lundi un rapport intermédiaire. Celui-ci analyse les mesures du plan d’action national pour la mise en oeuvre de la convention d’Istanbul 2022-2026.
Les mesures sont sur la bonne voie. La Confédération, les cantons et les communes ont défini trois domaines dans lesquels il est particulièrement nécessaire d’agir. Des « progrès substantiels doivent y être réalisés d’ici 2026 ».
Il s’agit d’abord de lutter contre les causes de la violence à l’égard des femmes, souvent due à des stéréotypes de genre. Ensuite, les professionnels de la santé et les autorités judiciaires doivent être mieux formés. Le troisième thème est une sensibilisation accrue à la protection contre la violence sexualisée.